SUPERLEKO: DIDIER DAKOURY 💙⚡

LéKô c’est aussi et surtout une équipe  de jeunes ivoiriens vivant en Allemagne, en Côte d’ Ivoire, et en France. Notre organisation regorge de dynamisme et d’enthousiasme pour mener à bien les différents projets. Chaque mois, faites la connaissance de deux de nos SuperLéKôs de l’éducation en Côte d’Ivoire…

1 Un truc qu’on doit absolument savoir sur toi ? J’aime pas jeter les ordures dans la rue, et j’aime pas voir les autres le faire non plus.

2 Quel est l’objet/la chose qui t’ aide le plus au quotidien ? Mon téléphone. 

J’aime vérifier ce que j’écris, dis et pense. Du coup, mes dicos, google et YouTube sont mes meilleurs potes. Et mon téléphone est ce qui me permet de rester en contact avec ces potes.

3 Ton meilleur souvenir des années collège et lycée ? En 1ère C, j’ai mon gars du nom de Alex Ekra. On commençait l’année scolaire, et le gars avait eu 16/20 à une interro de Math. Il s’est tout de suite donné un surnom : méthoxyéthane le toxique. Quand les choses se sont compliquées, baaah il a tout simplement oublié le surnom. Jusqu’à aujourd’hui, j’en ris encore. Je crois que je le lui ai rappelé une fois il y a quelque temps.

4 La matière ou tu tapais poteau à l’école ? Au collège, j’étais vraiment moyen comme élève. Donc je tapais poteau  presque partout. Au lycée, je n’ai jamais réussi à m’en sortir en Histoire et Géographie. Si j’y parvenais, c’était par chance, non pas parce que j’avais compris.

5 Pourquoi t’es-tu engagé avec LeKo ? D’abord, j’aime pratiquer l’entraide. Ça me plaît surtout de pouvoir aider des personnes qui en ont besoin.

Ensuite, je suis de ceux qui sont allés à l’école sans vraiment savoir ce qu’ils voulaient faire plus tard comme métier. Et j’estime que c’est la pire chose qui puisse arriver à un apprenant. Alors j’aimerais bien pouvoir motiver les générations actuelle et future à se projeter dans l’avenir dès les premières classes de collège et si possible dès l’école primaire. 

Enfin, je crois qu’il est important de se montrer utile à son pays. Les moyens pour y parvenir étant variés, j’ai opté pour celui-ci.

SUPERLEKO: MÉLAINE TRÉSOR 💙⚡

LéKô c’est aussi et surtout une équipe  de jeunes ivoiriens vivant en Allemagne, en Côte d’Ivoire, et en France. Notre organisation regorge de dynamisme et d’enthousiasme pour mener à bien les différents projets. Chaque mois, faites la connaissance de deux de nos SuperLéKôs de l’éducation en Côte d’Ivoire…

1/ Un truc qu’on doit absolument savoir sur toi ?  Je vais être directe. le Nutella et moi, c’est une histoire d’amour très toxique. Il ne faut pas se mettre au milieu. On a essayé plusieurs fois de se séparer mais ça n’a pas pris 🤣.

2/ Quel est l’objet ou la chose qui t’ aide le plus au quotidien ? Internet ! Dans le domaine privé comme professionnel . Quand on en fait bon usage , on y apprend chaque jour et ça donne une petite longueur d’avance. On découvre continuellement avec internet et j’adore!

3/ Ton meilleur souvenir des années collège et lycée ? Avec la PJIC (Planète Jeune Ivoire Club) , c’était une association de jeunes qui sensibilisait sur le VIH/SIDA en milieu scolaire. On était très jeunes et on a accompli de belles choses tous ensemble qui nous ont gardés soudés jusqu’à ce jour. Ce qui a aussi permis à matérialiser LéKô. J’ai eu de très belles expériences et cet intérêt pour le social est resté et m’a suivi pendant mes études universitaires en Allemagne et bien après.

4/ La matière ou tu tapais poteau à l’école ? Pourquoi LA alors que je peux dire LES 🤣 ? Mathématiques et EPS (Épreuves Physiques et Sportives). Il y avait match hein ! Même si au lycée je voyais un peu plus clair. Ça veut dire que j’étais un peu plus au-dessus de la moyenne, quand même…

5/ Pourquoi t’es-tu engagé avec LeKo ? Lékô c’est d’abord un projet social commun. Avec les amis de la PJIC on a réfléchi à nous engager à nouveau mais pour une autre cause sociale. Donner l’opportunité à d’autres d’avoir les mêmes expériences que nous : aller à l’école, apprendre et trouver sa Voie. Que cette opportunité ne soit plus « une chance » mais un droit bien garanti. Car c’est parce que nous avons eu accès à l’éducation que nous sommes là aujourd hui avec LéKô. Et bien avant tout ceci, Lékô fait partie des derniers projets dont j’ai discuté avec mon défunt père qui lui-même était enseignant de Lycées et Collèges. Au centre et à la source de ma motivation: l’éducation ! J’y ai (eu) accès et maintenant j’ œuvre pour que d’autres puissent y avoir accès tout autant que moi.